En savoir plus sur la simulation simplifiée Imprimer

Attention: les simulations présentées dans cette rubrique sont des simulations simplifiées s'appliquant à des foyers disposant uniquement de revenus salariaux et ne disposant d'aucune niche fiscale particulière.

Pour des simulations prenant en compte l'ensemble des revenus (en particulier revenus de patrimoines) et des niches (en particulier réductions d'impôts), tels qu'ils figurent dans les déclarations de revenus et l'assiette de la CSG, voir par exemple la rubrique "situer votre revenu".

Pour une analyse détaillée des gagnants et des perdants prenant en compte l'ensemble de ces effets, voir la rubrique "FAQ".


Note 1. Les simulations simplifiées font l'hypothèse d'un taux uniforme de cotisations sociales salariales égal à 12,00%. En réalité, le taux peut atteindre 13,85% dans le privé et 7,85% dans le public. Les formules exactes sont présentées dans le fichier excel disponible ici, où il est possible de modifier ce taux et de nombreux autres paramètres.

 

Note 2. Les simulations simplifiées sont présentées avec un barème "version 1" (individualisation complète du prélèvement) et un barème "version 2" (maintien du quotient conjugal: 2 parts pour les couples mariés et pacsés, et 1,5 parts pour les parents isolés). Ces deux barèmes sont disponibles ici.

Dans les deux cas, le quotient familial est remplacé par un crédit d'impôt forfaitaire égal à 750€ par enfant.

Par comparaison au barème "version 0", ces deux barèmes permettent de générer des recettes supplémentaires égales à 14 milliards €, ce qui permet par exemple de maintenir pour 12 milliards € certaines réductions d'impôt jugées socialement efficaces (par exemple équipements verts ou emplois à domicile) et de compenser pour 2 milliards € les bas revenus de remplacement bénéficiant actuellement d'une exonération de CSG (l'autre possibilité étant d'abaisser à 0% le taux de 2%, pour un coût d'environ 4 milliards €).

Ces différents barèmes sont présentés à titre illustratif: chacun a ses avantages et ses inconvénients, en particulier concernant les seuils de revenus au delà desquels les contribuables font face à une augmentation d'impôt, en fonction de la configuration familiale précise. Chacun est invité à simuler le barème de son choix et à en évaluer les conséquences.